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Anastasia Matsuda - N'a de princesse que le prénom

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Anastasia Matsuda
Anastasia Matsuda
Messages : 10
Age : 29
Anastasia Matsuda - N'a de princesse que le prénom Lun 28 Fév - 10:38

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Anastasia Matsuda


Informations générales
Âge et date de naissance : 27 ans, 29 octobre 1994
Genre : Femme
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Pays d'origine : Russie
Profession : Sans emploi
État civil : Mariée
Groupe : Toboshii
Avatar : OC d’Ilya Kuvshinov



Histoire
L’histoire d’Anastasia commençait pourtant comme un véritable conte de fées. Née dans une famille russe, aimante et aisée, l’enfant n’a jamais manqué de rien. Elle pouvait avoir tous les jouets qu’elle voulait et ses parents s’occupaient toujours d’elle dès qu’ils le pouvaient. Depuis qu’ils étaient mariés, la mère d’Anastasia avait quitté son poste de secrétaire dans une grande entreprise internationale pour s’occuper de sa petite princesse, les revenus de son mari leur permettant aisément ce changement de situation. Il fallait dire qu’être à la tête d’une puissante famille mafieuse du pays, ça avait de quoi facilement remplir les poches ! Mais la petite Anastasia ne comprit que bien plus tard quel était le monde dans lequel son paternel trempait, croyant naïvement pendant ses premières années de vie que son père était tout simplement un roi et que c’était pour ça qu’ils avaient autant d’argent. Après tout, n’était-ce pas pour ça qu’elle portait elle-même le prénom d’une ancienne princesse ?

Les années passèrent sans heurts jusqu’au 16ème anniversaire d’Anastasia. Avant cette date fatidique, la jeune femme put grandir et s’épanouir, sans jamais manquer de rien. Elle était couvée et chérie par ses parents, et elle fut d’ailleurs rejointe à ses 6 ans par un petit frère duquel elle s’occupait dès qu’elle revenait de l’école ou de ses cours de danse classique. Ses notes étaient dans la moyenne haute de ses différentes promotions, et Anastasia était toujours entourée de nombreux amis. L’argent aidait, certes, mais la demoiselle put tisser de vrais liens avec certaines de ses camarades notamment, se jurant qu’elles seraient amies pour la vie. Mais ces promesses sont souvent faites avec toute la naïveté de l’enfance, puisqu’il a suffi d’un tête-à-tête avec son père, le lendemain de son 16ème anniversaire, pour que la vie d’Anastasia bascule. Elle qui avait fini par croire que son paternel était un simple homme d’affaires qui gagnait très bien sa vie, découvrit alors la vérité : c’était lui qui dirigeait cette terrible famille mafieuse qui sévissait en Russie, mais aussi dans d’autres pays du monde. Comment était-ce possible ? Son père était-il quelqu’un de mauvais ? Anastasia tomba de haut avec cette révélation, révélation qui ne fut que les prémices d’une nouvelle encore plus terrible : son père avait conclu un mariage arrangé trois ans auparavant avec un comparse japonais. Sans lui en parler, son paternel l’avait donc offerte en mariage à un parfait inconnu qui vivait dans un autre pays…

L’adolescente était choquée et elle chercha aussitôt du soutien auprès de sa mère, mais celle-ci ne put rien faire et lui assura avec un sourire triste que tout se passerait bien. Du jour au lendemain, Anastasia fut donc envoyée avec un précepteur au Japon, alors qu’elle ne parlait pas un traître mot de cette langue. Une année entière passa, année pendant laquelle la jeune femme dut prendre des cours de japonais et quelques autres cours pour se familiariser à la culture du pays. Il fallait qu’elle devienne la femme parfaite à marier avant le jour J ! Anastasia avait bien tenté de fuir, à plusieurs reprises, mais ses tentatives s’étaient toutes soldées par un échec. De toute façon, en étant mineure et en n’ayant pas d’argent de côté… Que pouvait-elle bien espérer faire ?

Un an après son arrivée au Japon, son père fit le déplacement jusqu’à Kumoru où résidait sa fille et son précepteur. Après cette année passée à étudier seule avec cet homme, sans avoir le droit de contacter sa famille afin de se détourner de toute distraction, Anastasia sauta au cou de son père, heureuse de voir enfin un autre visage connu. Elle lui en avait voulu de l’avoir envoyée ici, et elle le lui expliqua avec une petite moue en gonflant les joues, comme elle savait si bien le faire. Ce fut alors à cet instant que son père lui expliqua le but de ce mariage : il trouva les bons mots pour lui faire comprendre que cette union était très importante pour toute leur famille et que tout le monde comptait sur elle. On ne lui demandait que de se marier avec ce jeune homme d’un an son aîné après tout, ce n’était pas la fin du monde ! Naïve et perdue, Anastasia fut immédiatement convaincue par les mots de son père et oublia alors toute sa rancune. Si ce petit sacrifice pouvait aider sa famille qu’elle chérissait tant, alors soit ! Elle le ferait pour eux !

Le jour J arriva donc, marquant la première rencontre d’Anastasia et de Kira, ainsi que leur union officielle. L’adolescente n’avait que 17 ans, mais le mariage avait été possible par la simple signature de son père sur les documents administratifs. D’ailleurs, à peine la signature avait-elle était apposée par l’homme qu’il disparut pour retourner dans son pays natal, laissant une Anastasia à nouveau complètement perdue puisque son précepteur n’avait pas pu l’accompagner dans cette nouvelle famille. Les premiers temps furent compliqués, Anastasia ayant du mal à réaliser qu’elle était à présent mariée à ce parfait inconnu. Toutefois, au fils des mois, le mari et la femme commencèrent à tisser un véritable lien. Pas un lien d’amour, non, mais d’amitié. La Russe, qui n’avait pas pu côtoyer qui que ce soit depuis son arrivée au Japon, s’était finalement profondément attachée à Kira. Ils étaient devenus complices et parlaient tous deux de leurs rêves de quitter cet endroit pour vivre leur vie loin de la mafia. La jeune femme avait même pu reprendre des cours de danse classique, et avait également repris ses études en intégrant une université afin de suivre des cours de littérature, la lecture ayant toujours été l’une de ses passions. Alors pourquoi avait-il fallu que Kira l’abandonne ?

Du jour au lendemain, sans un mot, Kira s’évapora dans la nature, laissant une Anastasia à nouveau seule et perdue avec un beau-père qui perdait vraiment pied. Il délirait avec ses idées de prendre le contrôle de la ville et la pauvre demoiselle, encore étudiante et tout juste âgée de 20 ans, n’avait aucun argent de côté pour lui permettre de garder l’appartement dans lequel elle vivait. Le père d’Anastasia fut rapidement mis au courant, cette mauvaise nouvelle le plongeant dans une colère noire. Ce mariage était caduc à cause de la disparition de son gendre par intérêt et, comme si cela ne suffisait pas, sa fille portait le fruit de cette union. Le précepteur d’Anastasia revint donc à Kumoru pour subvenir à ses besoins et lui permettre de rester dans son logement jusqu’au terme de sa grossesse. Et autant dire que ces quelques mois furent plus que compliqués pour la pauvre Anastasia. Elle avait perdu Kira, la personne de qui elle était la plus proche, et elle se retrouvait maintenant avec un bébé sur les bras. Il était tout bonnement impensable pour elle de s’en occuper, elle n’était pas prête et, surtout, elle était seule. De toute façon, même si elle en avait décidé autrement, son père fit une nouvelle fois le trajet le jour de l’accouchement pour s’occuper des papiers d’adoption. Hors de question qu’un rejeton qui le rattachait à cette famille reste dans ses pattes !

Une fois le petit envoyé à l’adoption et Anastasia remise de son accouchement, son père la força à rentrer en Russie. La jeune femme, alors âgée de 21 ans, le suivit docilement, sans protester. Que pouvait-elle faire en restant ici de toute façon ? Elle voulait quitter ce pays qui lui rappelait bien plus ce qu’elle avait perdu que ce qu’elle y avait trouvé. Sauf que les retrouvailles avec le reste de sa famille ne furent pas aussi joyeuses que ce qu’Anastasia avait imaginé : son frère avait changé du tout au tout, son père l’ayant pris sous son aile afin qu’il reprenne l’affaire familiale quand il prendrait sa retraite, et sa mère n’était plus que l’ombre d’elle-même après toutes ces années à subir le joug de son mari. La jeune femme crut alors qu’elle pourrait renouer avec son passé, recommencer une nouvelle vie dans son pays natal, mais son père ne lui en laissa pas l’occasion, lui assénant un cinglant « Tu n’avais que 3 choses à faire : te marier, jouer les bonnes épouses et faire un enfant pour unir nos deux familles. Pourtant, aussi simple était ta mission, tu as échoué. » Anastasia comprit alors à ce moment qu’elle ne valait pas grand-chose aux yeux de son père. Elle n’avait été qu’un moyen d’assoir un peu plus le pouvoir de sa famille, rien de plus…

Son cœur se durcit alors complètement et la Russe mit de côté toutes ses émotions afin de se plier aux nouvelles exigences de son père. Puisqu’elle n’était pas faite pour le rôle d’épouse, alors elle travaillerait pour lui ! Anastasia se retrouva donc à faire diverses basses besognes, passant le peu de son temps libre à sortir en soirée pour oublier sa condition ou à s’entraîner physiquement pour ne pas risquer de mourir bêtement lors d’une mission. Ce fut d’ailleurs lors de l’une d’elles, 6 ans plus tard, que le déclic se fit dans la tête de la Russe. Une arme à la main afin de menacer un mauvais payeur, Anastasia appuya sur la gâchette malgré elle quand l’homme se jeta sur elle pour la désarmer. L’homme ne perdit pas la vie mais fut gravement blessé et la jeune femme, alors âgée de 27 ans, réalisa qu’elle ne pouvait plus vivre comme ça. Ce n’était pas en restant sous le joug de son père qu’elle pourrait être heureuse, elle allait juste finir par mourir bêtement sans avoir revu son enfant… Ce fut cette réflexion qui la poussa à monter dans un avion en direction de Kumoru, avec l’espoir de retrouver son fils. Elle avait volé un peu d’argent à son père lors de sa dernière mission afin de payer son billet d’avion et lui permettre de vivre deux petites semaines sur place, le temps de trouver un travail qui lui permettrait de prendre un nouveau départ. Parce que si Anastasia était déterminée à retrouver son fils, sans doute la seule personne qui pourrait encore ressentir une affection sincère à son égard et inversement, il fallait avant tout qu’elle devienne quelqu’un de bien. Et pour cet infime espoir de bonheur, elle était prête à tout. La route serait longue, mais qu’importe. Pour l’heure, Anastasia vient donc tout juste de débarquer à Kumoru, prête à entamer sa nouvelle vie ainsi que ses recherches pour retrouver son fils.



Apparence
D’une taille dans la moyenne supérieure au Japon pour les femmes avec son 1m68, Anastasia pèse environ 62 kg. Sa silhouette est assez agréable à l’œil, avec de jolies formes qui ne laissent pas indifférents, mais elle reste toutefois athlétique. La Russe fait en effet beaucoup de sport pour s’entretenir, lui permettant d’avoir une force dont on ne la soupçonne pas au premier regard. Et en parlant de regard, celui d’Anastasia est d’un beau bleu envoûtant, contrastant parfaitement avec ses cheveux d’un noir de jais. S’ils étaient longs autrefois, ses activités de ces dernières années l’ont obligée à les couper assez courts, la Russe les portant actuellement avec une coupe au carré plongeant vers l’avant, avec une frange assez épaisse qui recouvre l’intégralité de son front, pour mieux souligner ses yeux. Après ce regard captivant et ces formes agréables, ce qui attirera ensuite votre attention, ce seront sûrement ses lèvres pulpeuses et souvent recouvertes de gloss, ainsi que ses joues un peu rondes, qui donnent l’impression qu’Anastasia n’a pas totalement réussi à se débarrasser de son visage d’adolescente. Son nez est quant à lui assez fin et droit, et ses oreilles sont percées à deux reprises chacune, au niveau du lobe. La Russe arbore donc un visage presque angélique par sa rondeur, mais qui montre rapidement qu’il ne faut pas se fier aux apparences grâce à ce regard perçant, regard que la jeune femme souligne souvent avec un peu de maquillage.

Concernant son style vestimentaire, Anastasia est très féminine dans ses tenues en règle générale, portant principalement des couleurs sobres. Vous la verrez plus souvent avec du noir, du blanc ou du gris, plutôt qu’avec des couleurs trop tapes à l’œil. Elle ne porte par ailleurs que peu de bijoux : son alliance qu’elle n’a pas pu se résoudre à retirer, comme pour ne pas oublier son passé, une gourmette sobre en or à son poignet droit, ainsi qu’un collier dans le même genre, sur lequel se trouve un pendentif plat semblable à une perle, dont elle ne se sépare jamais et qu’elle a souvent tendance à triturer lorsqu’elle est nerveuse ou qu’elle réfléchit. Anastasia ne présente aucun autre signe distinctif pour quiconque la verra au quotidien et entièrement habillée. La Russe prend en effet bien soin de cacher les quelques cicatrices qui ornent son corps, vestiges de ces dernières années passées en Russie à travailler pour son père.



Caractère
Ne jamais se fier aux apparences… C’est un proverbe qui sied parfaitement à Anastasia. Si, de prime abord, elle semble fragile avec son visage rond et ses yeux de biche, la Russe cache en réalité une grande force mentale. Avec ses expériences passées, elle a appris à se fermer hermétiquement au monde qui l’entoure, pour mieux affronter les épreuves, ce qui fait qu’elle est capable de presque tout endurer malgré la peine ou la souffrance qui peuvent l’envahir. La conséquence de ce repli sur soi, c’est qu’Anastasia est à présent incapable de s’ouvrir à qui que ce soit ou même de tout simplement se lier. La solitude ne lui fait pas peur, même si elle ne dira pas qu’elle en a horreur, et elle sait qu’elle ne peut compter que sur elle-même pour s’en sortir. Il faudra donc batailler pour réussir à percer cette muraille épaisse qu’elle a érigée autour d’elle pour se protéger, et réussir à obtenir sa confiance.

Pourtant, malgré ce caractère solitaire, Anastasia n’en reste pas moins quelqu’un de très social. La raison ? La Russe est passée maître dans l’art du paraître. Elle peut donc facilement aborder un parfait inconnu et discuter avec lui comme si elle le connaissait depuis des années, mais elle le fera uniquement si elle espère retirer quelque chose de cette interaction. Si vous n’avez rien à lui apporter, n’espérez donc pas qu’elle fasse le premier pas vers vous. Et pour arriver à ses fins, Anastasia ne reculera devant rien ni personne. Elle saura porter le masque adéquat, celui de la fille fragile, de la femme fatale ou même de la femme éplorée, et elle n’hésitera pas à franchir les limites morales. Séduire un homme marié pour le pousser au vice ? Aucun problème. Tremper dans des affaires illégales ? Aucun problème non plus. Anastasia est têtue et déterminée et elle ira toujours au bout de ce qu’elle entreprendra, peu importe les personnes ou les difficultés qui se dresseront devant elle. Elle n’hésitera pas à toutes les écraser.

Comme je le disais, Anastasia n’arrive plus à se lier à personne, les gens sortant tout aussi rapidement de sa vie qu’ils y sont entrés. La Russe ne compte actuellement aucun ami proche, uniquement des connaissances, des gens qu’elle a pu croiser une fois et avec qui elle aura joué un rôle avant de les jeter aussi sec. C’est d’ailleurs la même chose au niveau sentimental. Anastasia aurait pu croire à l’amour si elle n’avait pas vécu autant de désillusions. Et comme elle n’arrive plus à accorder sa confiance, elle préfèrera se contenter d’aventures d’un soir, peu importe qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme, lorsque la solitude se fera un peu trop forte ou qu’elle aura besoin d’un peu de divertissement, voire d’argent. Il faut dire que se sortir d’un passé tel que le sien est quelque peu compliqué, et Anastasia aura de grandes facilités à retomber dans ses anciens travers qui l’éloignent pourtant du droit chemin.

On pourrait alors penser qu’Anastasia est une femme froide qui n’a aucune faiblesse. Eh bien ce n’est pas tout à fait vrai ! La Russe essaie en effet de changer et de devenir quelqu’un de bien pour une seule et unique personne : son fils, qu’elle a dû abandonner des années plus tôt, lorsque son mari a préféré prendre la fuite seul. Elle ne l’a jamais revu, mais Anastasia le sait : elle sera prête à tout pour lui. Elle fait donc des efforts pour devenir une meilleure personne, même si elle doute énormément d’avoir une quelconque fibre maternelle en elle. Sa plus grande peur n’est d’ailleurs pas celle d’être en danger ou même de mourir. Non. Sa plus grande peur, c’est de rencontrer un jour son fils et de le décevoir. Si Anastasia est capable de tout encaisser, ce choc serait sans doute celui qui la mettrait définitivement à terre. Cet enfant est sa seule lueur d’espoir, la seule chose qui la fait encore tenir debout et qui la pousse à avancer et à changer. Pour le reste, tout aura assez peu d’importance puisqu’elle s’est détachée de ce qui l’entoure. Elle ne veut pas s’impliquer et n’aura aucun mal à ignorer une injustice se déroulant devant ses yeux si aider ne lui apporte aucun bénéfice. Les gens font leur vie, elle se contente de faire la sienne de son côté.

Anastasia reste toutefois une personne entière, et quand elle se donnera dans une relation, vous pourrez être sûrs qu’elle ne vous lâchera pas. Elle sera capable d’aller au bout du monde pour vous, faisant alors preuve de cette profonde gentillesse qui la caractérisait auparavant. Quand elle aime, elle aime à 300 %, mais l’inverse est tout aussi vrai. Si jamais elle décide qu’elle vous déteste, vous feriez mieux de ne pas insister et de la laisser tranquille. Parce que quand elle déteste, la Russe déteste aussi à 300 %. Rancunière au possible, elle pourra vous pourrir la vie de la pire des façons si jamais vous la titillez un peu trop. C’est aussi une professionnelle des répliques cinglantes, et une grande passionnée de défis. Il faut dire qu’elle a un égo assez bien ancré et que quiconque voudra parvenir à ses fins avec elle, n’aura qu’à tourner le tout sous forme de défi. Si vous lui dites qu’elle ne peut pas faire quelque chose, Anastasia foncera dans votre piège les yeux fermés, simplement pour avoir la satisfaction de vous prouver que vous avez tort.



Derrière l'écran


Votre pseudo : Pocky, Dae, Alexander… C’est vous qui voyez 8D
Votre âge : 32 ans !
Comment avez-vous découvert le forum : C’est mon mien euuuh ! 8D
Vos remarques/suggestions : Des rps, des rps, toujours plus de rps !
Petit mot de la fin : Briochette.


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