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Eiji Watanabe - ne manque de rien sauf de jugeotte

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Eiji Watanabe
Eiji Watanabe
Messages : 20
Age : 25
Eiji Watanabe - ne manque de rien sauf de jugeotte Sam 19 Fév - 14:48

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Eiji Watanabe


Informations générales
 
Âge et date de naissance :23 ans, 21 juin 1998
Genre :homme cis
Orientation sexuelle : bisexuel
Pays d'origine : Japon
Profession : comptable à Compta Inc
État civil : célibataire
Groupe : Shisso
Avatar : Kei Mikhail Ignatov|| Psycho-Pass



Histoire
 
La maman d’Eiji, Tsubaki, aimait bien s’amuser quand elle était jeune. Ce qui est un euphémisme pour dire qu’elle aimait bien les soirées, l’alcool et les coups d’un soir. En d’autres termes, Tsubaki s’éclatait. Elle était infirmière à l'hôpital de Kumoru, mais vivait dans une petite ville voisine. Certes, elle ne roulait pas sur l’or, mais ce qu’elle gagnait lui suffisait amplement pour vivre. Arriva un moment toutefois où elle eût l’envie de se poser un peu, et de tenter peut-être cette étrange aventure qu’était le couple. Après tout, pourquoi pas ? Enfin, parler de couple était peut-être un peu prématuré… après, on ne peut pas nier qu’elle continua à voir le même homme régulièrement pendant plusieurs mois. Ivan qu’il s’appelait… un Russe… c’est de lui qu’elle tomba enceinte. Enfin, elle en était quasiment sûre ! Là où elle avait vu d’autres de ses copines paniquer et angoisser face à la fin d’un mode de vie, Tsubaki quant à elle fût ravie d’une telle nouvelle. Avoir des enfants n’avait jamais fait partie de ses projets, pourtant, découvrir qu’elle était enceinte la transporta de joie. Bien plus que l’idée de rester en couple avec un homme.

Ivan ne devait pas penser tout à fait pareil. Tsubaki avait bien sûr envisagé de ne rien lui dire, elle se doutait trop du résultat, mais elle jugeait que par honnêteté, elle devait le faire. Il n’était pas parti tout de suite. Il avait dit vouloir s’occuper du bébé, qu’il était ravi, et toutes ces sortes de choses. Elle ne doutait pas qu’il y croyait lui-même. Il vint à l’accouchement, et dès cet instant, on pouvait sentir que l’enfant le mettait mal à l’aise : il ne savait pas comment il était censé se comporter avec lui. D’ailleurs, elle avait beau lui dire qu’il s’appelait Eiji, il continuait à ne pas le nommer, préférant l’appeler « le bébé » continuellement, ou « la chose » quand il était de plutôt mauvaise humeur. Ils avaient emménagé ensemble, et très vite, Tsubaki décréta que ça ne collait pas. Ivan ne servait à rien, il travaillait aléatoirement, et ne s’occupait pas d’Eiji. Pire, elle commençait à craindre qu’il puisse devenir violent avec lui. Car si Tsubaki n’avait pas l’impression d’avoir fait le deuil de quoi que ce soit, qu’elle était simplement passée à une autre étape de sa vie, Ivan lui considérait qu’on l’avait piégé. Or, elle avait toujours été claire. Elle n’attendait rien de lui, elle aurait cet enfant avec ou sans lui. Et si maintenant qu’Eiji était né, Ivan cultivait sa rancœur idiote, alors elle ferait sans lui. Dix mois plus tard, du jour au lendemain, elle avait déménagé, emmenant l’enfant. Ivan n’avait jamais essayé de les retrouver. Bon débarras !

Ils avaient logé chez une amie à elle, Hana. Hana était chirurgienne dans l'hôpital où travaillait Tsubaki, mais pour le coup, gagnait mieux sa vie et avait donc les moyens d’un appartement bien plus grand. C’était une solution temporaire. Juste le temps de retrouver un appartement à eux, le temps de retomber sur ses pieds. Mais la vie de Tsubaki n’en était pas à son dernier rebondissement, car il y a parfois du temporaire qui dure… Le temps passait, et Tsubaki n’arrivait pas à se décider à partir de chez Hana. Ce n’était pas une question d’argent, ni de temps… en quelques mois à peine, les deux femmes et l’enfant avaient trouvé un équilibre et un rythme de vie qui leur allait très bien. Et le fait est qu’elle se sentait bien là… elle ne se voyait pas déménager pour se retrouver seule avec Eiji. Ce n’était pas qu’une question matérielle. Vivre avec Hana l’apaisait. Plus encore, elle était ravie de la trouver au réveil, installée à la table du petit déjeuner, et encore plus ravie de la retrouver le soir en rentrant du travail. Le jour où iels fêtèrent ensemble le premier anniversaire d’Eiji, Hana lui déclara qu’elle l’aimait, et qu’elle ne voulait pas que tous les deux déménagent. C’est à ce moment que Tsubaki comprit : c’était donc ça, elle aimait Hana. Et Hana l’aimait aussi. Et cette fois-ci, elle avait vraiment envie de s’installer en couple.

C’est ainsi qu’à 1 an, Eiji n’avait plus de papa, mais deux mamans. C’était la combinaison parfaite : tous les trois formaient une famille unie, et heureuse. Des conditions parfaites pour grandir et s’épanouir !

Le petit Eiji s’avéra être un enfant calme, rêveur, et surtout bourré d’imagination… peut-être un peu trop d’ailleurs. Il était constamment dans la lune, dessinait beaucoup et racontait constamment des histoires. C’était un garçon naïf qui se faisait souvent balader par ses petits camarades qui en profitaient joyeusement. Ses mères avaient beau essayé de lui mettre un peu de plomb dans la tête, il se faisait continuellement piquer son goûter et leur expliquait que c’était parce que Machin manquait de glucose ou que si Truc ne mangeait pas de gâteau toutes les heures, il pouvait s’auto-détruire ! Il n’allait quand même pas les laisser dans la panade comme ça non ? Tsubaki soupirait, dépassée, tandis qu’Hana éclatait de rire. Après tout, tant qu’il ne se faisait pas taper… il finirait bien par apprendre non ?

Mais un jour, alors qu’il avait 6 ans, le petit Eiji était rentré de l’école et avait demandé laquelle des deux était son papa. Les deux femmes l’avaient regardé, interloquées. Il avait alors expliqué que tous les enfants de l’école avaient un papa, alors forcément que lui aussi devait en avoir un. D’où sa question : laquelle des deux étaient son papa ? Hana éclata de rire, quant à Tsubaki, elle eût un léger moment de panique. Dès le moment où elle avait passé la porte de l’appartement qu’elle occupait avec Ivan, elle se doutait bien que tôt ou tard Eiji poserait des questions sur lui. Pourtant, elle ne s’y était pas préparée… Si bien que la première réponse qui fusa fût :

« Ton père est un astronaute. Il est parti en mission sur la lune et depuis il va de satellite en satellite pour les réparer. »

Hana arrêta de rire, fixant Tsubaki avec des yeux ronds. Eiji avait simplement hoché la tête et répondu « je comprends. » d’un air très sérieux avant d’aller dans sa chambre. Les deux femmes s’étaient regardées, interloquées. Et les années qui suivirent, Eiji crut dur comme fer que son père était dans l’espace. Ses dessins et ses rêves se remplirent de fusées et de vaisseaux spatiaux en tout genre. En tout cas jusqu’au moment où ses camarades lui demandèrent ce que faisait son père. Les rires qui suivirent l’explication semèrent le doute dans son esprit. Si bien qu’à nouveau, il demanda à ses mères qui était son père… la scène se reproduisit alors à l’identique, excepté le rire d’Hana.

« Ton père est un policier infiltré chez des méchants de la mafia. »

Cette fois, les dessins se remplirent de gentils et de méchants qui se poursuivaient. Cette fois, ce fût la réaction de ses profs qui lui signalèrent que peut-être cette histoire n’était pas complètement vraie. À nouveau, même scène.

« Ton père est parti étudier les loups dans les montagnes. »

Les loups envahirent les dessins du jeune Eiji. Et rebelotte.

Ainsi grandit Eiji. Bercé par les histoires de sa mère, remises en cause par ses camarades ou un enseignant. Une fois adolescent, c’était difficile de savoir s’il y croyait vraiment ou s’il avait envie d’y croire, parce que pourquoi pas. Ces histoires étaient devenues sujet de dispute entre les deux mères… Hana ne comprenait pas pourquoi Tsubaki ne lui disait tout simplement pas, et estimait que ce n’était pas à elle de raconter cette histoire. Tsubaki quant à elle avait l’impression qu’expliquer ça revenait à avouer son échec en tant que mère, comme si finalement, il manquait encore et toujours quelque chose. Peut-être qu’inconsciemment, c’était ça qu’Eiji sentait, et que c’est pour ça qu’à 16 ans, il avait accepté comme réponse « Ton père est pilote de sous-marin et dirige des fouilles dans les zones les plus profondes des océans. »

La vérité c’est qu’il se doutait bien que Tsubaki, pour une raison ou pour une autre, n’était pas prête à lui dire. Il y croyait, parce que c’était mieux que rien. Et il reposait la question dès qu’une tierce personne faisait planer le doute, comme pour tester si cette fois serait la bonne. Il voulait savoir, mais sa vie n’en dépendait pas. C’était un morceau qui lui manquait, mais pour le reste, il avait eu deux mères incroyables. C’était bien plus que beaucoup ne pouvait espérer ! Et puis lui aussi, ça lui faisait du bien d’y croire. C’était plus simple. Et sans doute bien mieux que la vraie histoire de toute façon. Il avait juste fini par comprendre qu’il valait mieux garder pour lui les histoires de sa mère. Adolescent, il était toujours aussi dans la lune, toujours aussi naïf. Étonnamment, il n’avait jamais eu spécialement d’ennui avec les autres, comme Hana avait pu le craindre à une époque. Il n’avait pas beaucoup d’amis et traînait majoritairement avec les quelques marginaux du fond de la classe, mais on ne l’embêtait pas. Allez comprendre, il avait un certain charme pour raconter les histoires… certes, il y avait parfois quelques moqueries, mais ça s’arrêtait là. Par contre, ce n’était pas le cas de certains autres de ces camarades marginaux… Son meilleur ami de l’époque se faisait régulièrement piquer ses affaires et taper dessus. Eiji avait fini par s’interposer. Ça ne lui avait pas vraiment réussi d’ailleurs ! Il avait beau aimé le sport, il n’était pas spécialement doué en baston… Pourtant, il n’avait même pas hésité un instant. S’il voyait quelque chose, il agissait. Même si ça voulait dire se faire rétamer aux côtés de son ami ! C’était une question de principe après tout. Ni Hana ni Tsubaki n’avait réussi à le faire changer d’avis là-dessus : jamais il n’abandonnerait un ami, même s’il ne pouvait résoudre le problème…

Il avait dû attendre ses 18 ans pour enfin connaître l’histoire de sa naissance et des premiers mois de sa vie. La veille de sa rentrée universitaire, Tsubaki s’était enfin décidé… drôle de cadeau pour commencer ses études ! Comme il s’y attendait, l’histoire, sans être la plus noire, n’était pas non plus idéale. Comme il sentait qu’elle avait peur, il lui avait simplement souri et répondu « Alors finalement les loups de la montagne ont fini par le dévorer ? ». Tsubaki encore une fois était restée hébétée. C’était toujours aussi difficile de savoir si Eiji plaisantait, ou s’il était coincé dans son monde… d’ailleurs, la frontière n’était sans doute pas toujours évidente pour lui non plus. Toujours est-il qu’à partir de là, l’abcès était percé, et cela ne changea rien à leur cellule familiale. Ouf ! N'empêche que ça restait un drôle de cadeau pour quelqu'un qui quittait le domicile familial pour aller vivre seul pour la première fois de sa vie...

Eiji fit donc ses études de comptabilité. Il n’aimait pas trop l’école et avait donc choisi des études courtes… pour se rendre compte une fois embauché qu’il détestait son travail ! C’était chiant comme la mort en vrai la compta… Alors certes, il se débrouillait bien dans son boulot. Il était même plutôt efficace. Tellement efficace qu’il se retrouvait souvent à s’ennuyer durant ses heures de travail. Si bien qu’il avait pris l’habitude de toujours emmener son carnet à dessin. Il gribouillait pendant ses temps libres et rêvassait… En même temps, ces moments volés à dessiner et rêver des histoires lui avait permis de concevoir des parties de Donjon & Dragons incroyables pour son groupe de jeu de rôle, constitué des marginaux du fond de la classe qu’il fréquentait toujours. Petit à petit, de partie en partie, il avait pris goût à cette pratique et était devenu un maître du jeu aussi redoutable qu’adoré pour son talent à planter un décor et des ambiances. C’est depuis quelques mois que l’idée lui était venu : peut-être qu’il y avait là une possibilité de reconversion. Concevoir ses propres jeux de rôles… voire même, rêve ultime… un escape game ! Ça, ça serait un métier merveilleux ! Enfin en attendant, il fallait bien faire bouillir la marmite… Et puis bon, il gagnait un salaire confortable qui lui permettait de louer un grand appartement, dans lequel une pièce entière était réservée à ses créations. Ce qui ne l'empêchait pas d'aller au moins une fois par semaine rendre visite à ses deux mères, pour un goûter, un dîner, une sortie... son travail aussi ennuyeux soit-il lui permettait quand même de conserver ce train de vie confortable.

Ainsi passait la vie d’Eiji, à se raconter des histoires, à faire un travail ennuyant, mais tellement efficacement qu’il pouvait voler du temps pour ses propres projets.



  Apparence
 
Eiji mesure 1,75m pour 85 kilos. Il est plutôt fin, mais avec les épaules carrées, musclée. Il est en bonne condition physique, il court régulièrement, pour le plaisir. Actuellement, il s’entraîne pour faire son premier semi-marathon ! Sans être un accro de la gonflette, il fait aussi régulièrement des abdos et des pompes, histoire de.  Sous ses airs d’intello, il est donc plus en forme qu’il n’y paraît.

Ses cheveux noirs ont l’habitude de faire leur propre vie. Il les garde mi-longs. Il essaie régulièrement de les discipliner mais n’y parvient que très rarement… à force, on ne sait plus très bien ce qui relève de l’épi de ce qui est une forme d’art. Au final, c’est plus simple de faire comme s’il avait passé des heures à essayer de se donner ce fameux look « saut du lit ». Alors qu’au final, ses cheveux sortent vraiment du lit…

Il a hérité des yeux bleus de son père, d’origine russe. Des yeux souvent perdus dans le vague tant Eiji a l’habitude d’être dans la lune. Malgré tout, son regard est clair, concentré, et donne souvent l’impression à ses interlocuteurs d’être le centre du monde. D’autant qu’il n’a pas vraiment de juste milieu : soit il est ailleurs, soit il vous fixe longuement. Une habitude qui peut perturber… Il paraît d’ailleurs souvent distant au premier abord, voire froid. Cette façon de vivre dans sa bulle lui donne parfois un air hautain, pourtant à des lieux de ce qu’il est…

Eiji a pris l’habitude de nombreux salarymen : il porte le costume presque dès qu’il sort de chez lui. Ce qui contraste drastiquement avec l’épais blouson qu’il passe par-dessus dès que la température baisse… Ceci dit il s’autorise généralement un relâchement le weekend, où vous pourrez éventuellement le voir en jean et T-shirt… Mais quand même, la plupart du temps, il tient à conserver un certain standing vestimentaire.



  Caractère
 
Eiji est d’un naturel plutôt calme. Il faut dire qu’il est assez souvent dans la lune, alors ça aide ! Il rêvasse beaucoup et s’évade constamment dans des univers que son esprit construit en continu. Étrangement, il repère souvent très vite des détails très précis de l’environnement qui l’entoure. Simplement… il oublie le reste de l’environnement en question pour se demander quel est l’histoire de cette petite chose-là.

C’est sans doute lié à son principal trait de caractère : Eiji est affreusement, et maladivement, naïf. Capable d’avaler absolument tout ce que vous lui direz à un point que ça en devient absurde. Il est souvent difficile de savoir s’il y croit vraiment, ou si c’est un air qu’il se donne. D’ailleurs, même lui ne le sait pas dans le fond. De la même façon, il est souvent perdu dans les histoires qu’il se raconte, sans qu’on arrive à savoir s’il arrive à les distinguer complètement de la réalité ou non, ce qui est souvent assez perturbant…
En toute logique, il est donc complètement imperméable au sarcasme et au second degré qu’en général… il ne comprend pas. Il rate aussi assez souvent les blagues, surtout quand elles ne sont pas suffisamment présentées comme des blagues.
Dans la même optique, Eiji ne ressent que rarement la tristesse. Pas qu'il y soit complètement imperméable, simplement depuis l'enfance il a développé cet espèce de réflexe de survie qui le renvoie aussitôt dans sa bulle d'imaginaire, coupée du monde, un endroit où rien ne peut l'atteindre. Souvent quand on parle de son père, ou de rêve de carrière. De manière générale, tout ce qui revient à se projeter peut avoir tendance à l'angoisser et provoquer ainsi ce mouvement de repli sur lui-même.
En revanche, ne vous y trompez pas, comme tous les grands calmes, il peut parfois sortir de ces gonds, et la violence de la colère compense pour sa rareté... Il ne supporte pas qu'on s'en prenne à plus petit que soi, et surtout pas qu'on critique ses mamans...


C’est un gentil garçon, s’il arrive à sortir de sa bulle, il parle facilement avec les gens qu’il croise. D’ailleurs, il les trouve souvent très intéressant. Simplement, il a parfois des sujets de conversation bizarre, ou bien il s’intéresse trop à un détail bizarre. Il n'hésite pas non plus à aborder les gens ou ouvrir la conversation, simplement c'est toujours... original dirons-nous. Si l’on passe outre cependant, c’est un ami toujours disponible pour vous faire distraire de vos tracas ! D’autant qu’il n’hésite pas non plus à se mettre en danger pour les gens qui comptent… souvent très bêtement d’ailleurs. Ça fait ça quand on lit trop d’histoires…

S’il a déjà été en couple à l’occasion, il a du mal à tenir une relation. Trop dans son monde, trop dans la lune… les quelques relations qu’il a eu l’ont souvent trouvé trop gamin… pourtant, il y croit à l’âme sœur ! Après tout, c’est dans toutes les bonnes histoires ! Il ne désespère donc pas de trouver la personne avec qui il pourra finir ses jours, la personne qu’il pourra faire rire, à qui il pourra cuisiner le petit déjeuner le matin, et surtout qui croira en lui et ses histoires.

Quant à ses projets, ce n’est pas vraiment qu’il manque de confiance en lui. Il se sait capable. Mais il a du mal à se vendre, à se mettre en avant. Il a souvent l’impression de gêner… pas facile du coup de percer dans son milieu !



 
Derrière l'écran


 
Votre pseudo : Dandelion
Votre âge : 32ans
Comment avez-vous découvert le forum : je sais plus
Vos remarques/suggestions :
Petit mot de la fin : Content de débarquer pour la v2 :D
 


 
:copyright:️ codage par Mini BN sur Never Utopia

 


Dernière édition par Eiji Watanabe le Mer 23 Fév - 18:38, édité 1 fois
Alexander Reynarsson
Alexander Reynarsson
Messages : 188
Age : 30
Re: Eiji Watanabe - ne manque de rien sauf de jugeotte Mer 23 Fév - 19:13



Bienvenue et félicitations !


Haha, quel plaisir de revoir le tit Eiji par ici ! Je ne me souvenais plus du tout de cette fiche, mais ça a été un réel plaisir de le redécouvrir ! J'ai hâte de voir s'il va réussir à quitter son boulot caca pour se lancer dans sa vraie passion ! Eiji Watanabe - ne manque de rien sauf de jugeotte 1f624 Et merci aussi pour les corrections que tu as apportées à ta fiche, elle est puuuuurfect maintenant ! ♥ Donc... Je t'annonce que tu es validé ! Eiji Watanabe - ne manque de rien sauf de jugeotte 1058148283

Pour bien commencer, voici des liens qui te seront utiles :

♦ Pour poster ton carnet d'adresses, c'est par ici -> Clique !
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♦ Et enfin, pour demander des rps, tu peux tenter ta chance ici -> Clique ! Bien sûr, tu peux aussi chercher des partenaires sur Discord ! ♥

Je te souhaite encore une fois la rebienvenue sur le forum et j'espère que tu passeras un bon moment parmi nous avec ce personnage ! Love sur twa !  Eiji Watanabe - ne manque de rien sauf de jugeotte 2851616053
Eiji Watanabe - ne manque de rien sauf de jugeotte
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